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29 mars 2011

Bad Buzz sur les Médias sociaux: Groupon un cas d'école ?

Si vous recherchez un cas d'école de Badbuzz sur les Médias Sociaux alors le cas Groupon va vous intéresser! Nous allons donc essayer de tirer les enseignements de ce badbuzz sur les médias sociaux afin d'aider votre entreprise à vous en prémunir.


Vous n'avez pas pu y échapper si vous êtes présent sur Twitter et/ou Facebook un vrai badbuzz a explosé aujourd'hui (29 mars 2011) sur l'ensemble des Medias Sociaux avec l'annonce d'une commerçante belge contrainte de fermer son entreprise après avoir lancé deux deals sur groupon.


A l'heure qu'il est cet URL a été partagé via twitter plus de 300fois  :




Que retenir ?

Tout d'abord on peut noter que Groupon a réagi assez vite et plutôt bien en répondant sur le lien Facebook :

et en communiquant au travers de Twitter :


Enfin, un communiqué bref a été posté sur la Page Fan Google France de Groupon :






Ce cas d'école démontre tout d'abord la nécessité de mettre en place une veille active sur sa marque, de savoir réagir rapidement et avec sang froid.

Ce qui est surprenant c'est que ce soit Groupon France qui gère la crise, peut-être est-ce les responsables francophones?

Autre point important, on a beau dire l'e-réputation n'est pas juste une affaire de communication ! Votre première arme pour soigner votre image : soignez vos clients et soignez vos produits services ! Sans cela vous aurez beau soigner votre ligne éditoriale sur les médias sociaux ou avoir une armée de community managers à votre solde : vous n'arriverez à rien !

Autre leçon moins liée à la communication mais plus à la stratégie d'entreprise, cet épisode montre encore une fois la difficulté à gérer un marché multi-faces ! Il faut alors réussir à satisfaire simultanément plusieurs catégories de clients ayant parfois des attentes et intérêts différents voire opposés ! En l'espèce  satisfaire l'internaute en quête de prix sacrifié et le commerçant et un équilibre difficile qui s'il n'est pas trouvé met en péril tout l'écosystème (voir aussi : le cas de la concurrence entre gestionnaires de plateforme et les développeurs d'applications).

La suite nous dira comment les choses vont tourner pour ce "badbuzz" mais il est d’ors et déjà riche d'enseignement!





25 mars 2011

Comment définir sa ligne éditoriale sur les Médias Sociaux ? Des méthodes !

Définir sa ligne éditoriale pour les médias sociaux ? Non, il faut définir une ligne éditoriale propre à chaque Média Social !



Chaque entreprise sait désormais qu'il faut être présent sur les Médias Sociaux, je ne perdrais donc pas de temps à le démontrer... Reste à savoir pourquoi être présent sur les Médias Sociaux? Cela je l'ai déjà abordé...Maintenant faut-il encore savoir quoi dire sur les Médias Sociaux : définir sa ligne éditoriale pour les Médias Sociaux!

Plus précisément selon moi, et c'est ce que je vais essayer de démontrer dans cet article, une entreprise doit définir une ligne éditoriale propre à chaque Média Social où elle souhaite prendre la parole. En effet, les attentes et les codes et étant différents sur chaque média social, il faudra adapter votre discours (vos contenus) aux différentes plateformes. Comment procéder?

Sur chaque Média Social ou vous souhaitez être présents vous devez commencer par vous inscrire et observer ce qui se dit et fait afin d'assimiler les usages en vigueur. Commencez par écouter avant de vouloir prendre la parole.Ensuite quand vous vous sentirez suffisamment à l'aise, lancez vous ! 

Ok mais pour dire quoi? Vous devez vous demander : 

  • qu'est-ce qui intéresse les personnes que je cible sur ce Média Social ?
  • quels types d'informations puis-je partager sur ce Média Social tout en restant crédible?

Commençons par le nerf de la guerre : votre blog d'entreprise! Sur un blog professionnel où la rédaction d'un article nécessite du temps on s'attendra à ce que vous publiez des informations concernant le coeur de votre d'activité, là où votre degré d'expertise est le plus important : là où vous pourrez apporter du contenu original, de fond et de qualité, autrement dit avec de la valeur ajoutée. Cela dit, on attendra pas de vous que vous étaliez toute votre connaissance, sélectionner ce qui intéressera le plus votre cible!

Voici comment nous pourrions modéliser cette démarche :



Nous l'avons dit plus tôt : vous devez définir une ligne éditoriale spécifique à chaque Média social. Je pense qu'on peux sans trop se tromper partir de la base qu'est la ligne éditoriale du blog d'entreprise et l'adapter à d'autres Médias Sociaux.

Nous ne ferons par l’exercice pour tous les Médias Sociaux mais, par exemple sur Twitter où le partage d'une information est beaucoup plus rapide et beaucoup moins engageant (que la rédaction d'un billet de blog ) il possible d'élargir votre ligne éditoriale en partageant des liens utiles connexes à votre activité mais qui font sens pour votre cible.Vous pouvez même vous permettre de partager du contenu qui ne relève pas du cœur d'intérêt de cible habituelle parce qu'un contenu que vus avez lu contient de l'humour, de l’originalité, ou des valeurs que vous souhaiteriez transmettre. Ce sera peut-être l'occasion de toucher des non clients !


 

Mais comment savoir si vous allez trop loin? Voici une astuce pour affiner votre ligne éditoriale sur Twitter.

  • Affinez votre ligne éditoriale sur Twitter
Nous avons dit que sur Twitter vous pouvez certainement l'élargir par rapport à votre blog.

Néanmoins, vous voudrez certainement savoir si vous ne vous écartez pas un peu trop de votre coeur de compétence au goût de vos followers? Et bien il existe un service qui répond à ce besoin en vous permettant de connaitre l'impact de vos Tweets sur le nombre de vos followers: http://www.tweeteffect.com/

C'est très simple, saisissez votre pseudo Twitter et en quelques secondes le service vous affiche en vert les Tweets qui vous ont fait gagner des followers et en rouge ceux qui vous en ont fait perdre! 



Vous pourrez donc grâce à cet outil corriger le tir et affiner empiriquement votre ligne éditoriale sur Twitter. Bien entendu le nombre de RT, de clic sur les liens sont également des indicateurs pertinents pour vous guider dans votre analyse.

Avec ses deux exemples : le blog professionnel et Twitter, je pense que vous serez en mesure de définir votre ligne éditoriale propre sur tous les Médias Sociaux .

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21 mars 2011

Je t'ai pillé ta startup, pourquoi tu te plains? Les idées appartiennent à tous !

Copier une startup quoi de plus normal?

Les idées ne sont pas protégeables… les idées appartiennent à ceux qui les développent, les idées n’ont de valeur que si elles sont partagées… alors, POURQUOI TU TE PLAINS qu’on te pompe ton travail?


Oui, en effet, une idée est difficilement protégeable et Oui elle n’a de valeur que si elle est mise en œuvre! Cela veut-il dire pour autant qu’il n’y a rien de mal à plagier le travail d’autres entrepreneurs une fois que le projet n'est plus qu'une simple idée?  Je trouve personnellement que le discours ambiant est un peu malsain (cf : http://fr.techcrunch.com/2011/03/02/des-idees-tout-le-monde-en-a-le-plus-dur-est-de-les-mettre-en-oeuvre/ ; http://www.guilhembertholet.com/blog/2011/03/09/bouuuhh-on-ma-pique-mon-idee-de-creation-dentreprise/ ) …

Je suis peut-être un doux naïf mais personnellement je prône une certaine éthique dans la concurrence et surtout la concurrence entre startups !
Vous souhaitez vous lancer sur un marché où des concurrents sont en présence, quoi de plus normal que de réaliser une veille concurrentielle? Rien de surprenant à ce que vous capitaliser sur les bonnes pratiques du secteur, ... mais s’il vous plait : évitez d’aller jusqu’à plagier le design, la promesse, le NDD, les formulaires de vos concurrents…

Ayez un minimum de classe et apportez ( au moins pour vous prouvez à vous même que vous êtes capable d’un peu d’imagination) des éléments de différenciation ! 

Je ne remets pas en cause l’effet pro-concurrentiel d’une concurrence saine obligeant chaque startup à se dépasser ou si besoin à disparaitre (encore que l'innovation nécessite toujours un cadre légal de protection de la propriété intellectuel, comme je l'ai expliqué pour hadopi), ce qui me dérange c’est cette vision donnée que celui qui est plagié est bien le plus bête et qu’il l’est encore davantage de se plaindre!

Bien entendu, en pareil situation rien ne sert de perdre tout son temps à ruminer telle ou telle crasse , ou de passer son temps à se plaindre. En effet, l’entrepreneur se doit d’aller de l’avant  rapidement! 
 Pour autant, je trouve tout à fait normal quand une concurrence déloyale est avérée qu’un entrepreneur fasse valoir ses droits et si c’est possible/nécessaire en justice (si les idées ne sont pas protégeables il existe d'autres moyens de se défendre, je les expliquerais dans un prochain article)!

Dans bien des cas cela ne sera pas possible néanmoins… et pas le plus efficace (long, couteux…) . Dès lors, une possibilité est de marquer le coup en étant transparent sur ces pratiques déloyales! 

Attendez le moment le plus opportun (le lancement officiel par exemple) et rendez public la mauvaise pratique de votre concurrent : plutôt que de faire des captures d’écran pour alimenter un constat d’huissier, postez ceci sur votre blog en exprimant votre surprise sur ces ressemblances troublantes… Arrangez vous pour que cela ressorte aux bons endroits sur les moteurs de recherche… laissez mijoter… prenez une bonne inspiration…. expirez fort! ça fait du bien hein? ^^ 'moi en tout cas oui, ça m'a fait du bien à l'époque fan2sport même si je n'avais pas pour ambition de pousser les choses plus loin).

Faute de mieux, vous aurez coller une étiquette de suiveur pour le moins maladroit à votre concurrent indélicat… et puis vous profiterez de son lancement pour augmentez votre propre trafic..

Attention, ne tombez pas aussi bas que lui ! Gardez vous bien de perdre votre sang froid, mesurez bien ce que vous dites, d’ailleurs dites en le moins possible ne tombez pas non plus dans le sentimentalisme... : contentez vous d’être factuel, laissez les personnes se faire une opinion éclairée!

Désormais, vous avez marqué le coup alors ne perdez plus de temps ! Si c’était le premier concurrent indélicat ce ne sera certainement pas le dernier, surtout si votre projet est bon… alors le mieux que vous avez à faire c’est de faire de votre produit / service le meilleur tant par ses caractéristiques que votre business model

Mais sincèrement, les spécialistes du clone, plutôt que de rêver de pourrir telle startup en la plagiant, je vous souhaite plutôt de trouver une idée qui vous soit propre et que d’autre auront envie d’imiter ! C’est tellement plus valorisant, non?

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4 mars 2011

Les entrepreneurs ne se contentent pas d'aimer le risque : ils acceptent l'incertitude !

Les capitaux  risqueurs  aiment le risque les entrepreneurs aiment l’incertitude…



A première lecture, vous pourriez dire que je joue sur les mots… Et bien non, il s’agit d’une nuance voire d’une différence FONDAMENTALE pour comprendre les entrepreneurs!

En effet, et toute personne sensibilisée aux probabilités vous le dira : l’'incertitude et le risque recouvrent tous deux la possibilité d’évènements dommageables dans une situation donnée (relativement à celle d'évènements plus favorables ressortant de la même situation) MAIS, le risque est mesurable alors que l’incertitude ne l’est pas !

Le présent billet essaiera donc de démontrer les implications de cette différence entre risque et incertitude pour un entrepreneur!


Définition de la notion de risque:


Quand on peut estimer de façon suffisamment précise la fréquence et l'étendue d’un évènement on peut parler de risque.

Autrement dit, on peut parler de risque lorsqu’on peut estimer la probabilité qu’un évènement dommageable survienne et son niveau de gravité.

En effet le risque est habituellement mesuré en même temps par :

  • la probabilité (fréquence attendue) d'une perte
  • et l'importance possible de cette perte (un montant monétaire lorsque de l'argent ou du patrimoine est en jeu).

Les probabilités sont généralement tirées de statistiques empiriques indiquant la distribution (fréquence) d'évènements passés ou liés à des règles fixes.

ex : Avant même de jouer au Loto, nous ne connaissons pas le résultat, mais nous connaissons la probabilité de gain liée au nombre de boules et au nombre de tirages. Le risque de gain est d’ailleurs si faible qu’il devrait nous dissuader de jouer…

Chaque individu normalement constitué a un degré plus ou moins fort d’aversion au risque.

Définition de l’incertitude


A l'inverse du risque, l'incertitude est un aléa non mesurable.

L'incertitude s'applique à des territoires nouveaux, des situations nouvelles, sur lesquelles les statistiques d'évènements similaires sont indisponibles ou non pertinentes.

Ex : Ici, il n’est pas question de tirage parmi une population connue, mais de choix dont les conséquences sont à venir. Par exemple, le résultat d’un match est incertain; ou encore, les conséquences d’une rencontre amoureuse…



L’entrepreneur innovateur est peu averse au risque, mais surtout il est peu averse à l’incertitude !


Les articles nous expliquant que "les entrepreneurs sont peu averses au risque, que ce soit sur des blogs ou dans le monde de la recherche, sont très nombreux. Mais,  je pense pour ma part que ce qui différencie vraiment l’entrepreneur du reste des hommes c’est son degré moindre d’aversion à l’incertitude!

Je m’explique, si dans certains cas la décision de créer, ou même de reprendre, une entreprise relève d’un choix où le risque est mesurable, je pense qu’il ne s’agit que d’une part infime des cas !

En effet, si vous racheter la pizzéria d’un de vos amis partant à la retraite, qu’il vous fourni le bilan des vingt dernières années, que la pizzeria est implantée dans une commune dont la population est relativement fixe, que l’ensemble de la zone de chalandise est verrouillée… alors peut-être pourrez vous sortir des probabilités fiables pour réaliser votre business plan!

Mais cela nécessitera encore un gros travail pour modéliser des facteurs variables comme le cours du blé impactant le prix de revient de la pâte, ou du lait celui le fromage,  etc.…

S’il s’agit d’ouvrir un nouvel établissement vous pourrez alors essayer de recourir à une étude de marché. Si celle-ci est bien faite, sur un échantillon suffisamment étendu et représentatif, là encore on peut considérer que vous obtiendrez des données “fiables”…

Vous pourrez alors décider d’entreprendre, ou non, selon le niveau de risque que vous aurez estimé (en le comparant au gain possible) et votre degré d’aversion à celui-ci… D’ailleurs tout investisseur sera bien heureux de vous rencontrez, y compris un banquier!

Mais malheureusement dans bien des cas, et plus votre projet sera innovant plus ce sera le cas : vous ne pourrez pas obtenir des données fiables pour établir des probabilités ! En effet, comment réaliser l’étude d’un marché qui n’existe pas encore? ^^

Oui, si vous êtes un entrepreneur innovateur vous devrez vous jetez dans le vide de l’aléa, sans le filet que sont les probabilités : vous devrez accepter d’affronter l’incertitude !

Entrepreneurs, vous êtes peu averses à l’incertitude : tout le monde ne l’est pas !


Oui, vous savez que vous n’avez pas toutes les informations nécessaires en votre possession pour estimer le risque que vous allez prendre en entreprenant… mais ce projet vous tiens à cœur et vous assumez cette incertitude...Cela signifie t-il qu’il faut foncer tête baissée?

Loin de là, comme je l’ai expliqué dans un article intitulé “startup faut-il faire une étude de marché?” .

Dans ces cas où les données chiffrées "fiables'" manquent, une certaine vision du futur est quand même nécessaire pour prendre des décisions. Il est alors nécessaire :

  • d'établir des scenarii, hypothèses, solutions alternatives...
  • en accompagnant chacun de ces cas de figure d'une probabilité subjective (appelée probabilité conditionnelle, ou probabilité bayésienne pour), voire en ayant recours à la logique floue .

D’ailleurs, quand vous rédigerez votre Business Plan, pour la partie financière vous aurez à imaginer différents scenarii du plus pessimiste au plus positif…

Cette façon de faire vous permettra d’envisager des solutions alternatives ou plan B, ou C avant que ne survienne une éventuelle situation de crise où vous auriez tellement la tête dans le guidon que vous auriez du mal à prendre de bonne décisions…

De plus, cette démarche vous permettra de rassurer de potentiels investisseurs.

Ne vous leurrez pas, vos potentiels investisseurs savent comme vous que votre business plan est faux (ce n’est qu’un prévisionnel) ! Mais : ce qu’ils regarderont c’est sur quelle base vous formulez vos hypothèses et ils estimeront ainsi si elles sont crédibles ou non.

Si par exemple vous  visez la vente de x abonnements premiums la premières années, il serait judicieux (pour ne pas dire indispensable) d’expliquer comment vous comptez vous y prendre et ce qui vous a amené à formuler cette hypothèse : stratégie commerciale prévue, force commerciale allouée à cette tâche, technique et argumentaire de vente envisagés…

Si vous faites bien ce travail alors vos investisseurs jugeront vos hypothèses crédibles : et donc comme des probabilités! Ils ne considèrerons plus être en situation d’incertitude mais bien de risque et pourront alors envisager sérieusement d’entrer dans votre capital s’ils jugent ce risque acceptable… 

Alors, je vous ai convaincu? Vous ne direz plus que les entrepreneurs sont moins averses au risque que la moyenne mais plutôt qu'ils sont moins averses à l'incertitude?


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Innover dans le Nord : c'est pas si chaud de créer une entreprise innovante !

Vous portez un projet innovant et souhaitez faire de votre  idée une entreprise innovante rentable?

C’est une formidable aventure que vous envisagez !

Pour être moi même entrepreneur, il faut bien le reconnaitre ; créer son entreprise demande énormément de temps et d’énergie!

Dans ce contexte, tous les coups de pouces sont donc les bienvenus!

Malheureusement, si des organismes sont là pour accompagner les créateurs d’entreprises, ils sont bien souvent dispersés et il est difficile de savoir à qui s’adresser!

Et bien, la Région Nord Pas de Calais propose il me semble une réponse originale en offranr un accompagnement personnalisé ou coaching individuel pour les porteurs de projet innovant!



Cela permet au porteur de projet d’être accompagné par un interlocuteur unique tout a long du processus de développement de son projet! En plus d’apporter une expertise méthodologique et des conseils sur les financements possibles dans la région etc. cela a l’avantage d’avoir un avis extérieur au projet !

Cette approche est présentée dans un petit guide que vous pouvez télécharger ici : http://www.jinnove.com/fr/Media/Files/Autres/GUIDE_CEI

En plus de présenter cette démarche vous y retrouverez une foule de renseignements utiles et les acteurs à connaitre si vous souhaitez créer une entreprise innovante dans le Nord !

Autre information du 21 au 25 Mars 2011 c’est la fête la semaine de l’innovation. Si vous êtes porteur de projet notez ces dates d ans vos agendas et jetez un oeil au programme!

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